Les éditeurs scolaires à éviter - commentaires

Les éditeurs scolaires à éviter

Bonjour,
Je souhaite simplemement signaler que "lelivrescolaire" qui me paraissait intéressant propose une version hors connexion enseignant pour environ 10 euros par an mais que celle-çi n'est pas utilisable depuis une clé usb ! Elle est téléchargeable 3 fois sur ordinateur ou tablette. Du coup pour les enseignants comme moi qui changent de salles plusieurs fois par semaine ou par jour et qui n'ont pas une connexion internet fiable dans leur établissement, l'utilisation de ce manuel est impossible. J'ai fait part de ce problème à la personne qui s'occupe du manuel numérique chez lelivrescolaire et elle ne semblait pas être au courant des versions numériques utilisables depuis clé usb...dommage.
Cordialement.

Les éditeurs scolaires à éviter

Bonjour,

j'ai eu l'occasion de feuilleter les manuels (papier) envoyés en spécimen aux prof doc en juin dernier (nominatifs mais considérés pour le CDI, allons y comprendre quelque chose), et étant spécialiste des SIC (sciences de l'information et de la communication) grâce à mes études et à mon CAPES documentation, je constate que tous les éditeurs proposent des activités douteuses en EMI, ou dans les fiches méthodes, dans les manuels collège parus suite à la réforme.

Quelques exemples et éléments de réflexion :

Lu dans des manuels de LV : faire des affiches mais n'indiquer nulle part aux élèves de citer ses sources d'illustrations, son propre nom d'auteur, et encore moins d'utiliser des images lib.é.ré.es de droit...
Lu dans un manuel de technologie : une page (avec des activités intéressantes) sur les creative commons, mais rien qui explique le droit d'auteur de base et montre donc l'intérêt des CC.
Lu dans un manuel d'histoire-géographie : réaliser une Une de journal, avec des ressources numériques (URL raccourcies) indisponibles ou mal adaptées à leur niveau (ressource prof), et n'expliquant en rien ce qu'était une Une ; faire un exposé avec des consignes vagues "sur internet", "faire un powerpoint" (une marque en plus !) ; réaliser un article de blog et le publier (... mais une activité présentée comme cela ne veut rien dire si l'enseignant.e ne prépare pas les autorisations de publications pour les responsables légaux et le blog en lui-même...)

Bref, je m'interroge quant à la présence des prof doc dans l'élaboration des manuels scolaires, puisque les enseignant.e.s de discipline sont censé.e.s leur faire confiance et pas toujours expert.e.s en information-documentation ou EMI (qui est un enseignement transversal, appropriable par tou.te.s mais seul.e.s les prof doc, voire d'H-G, y sont vraiment formé.e.s). D'ailleurs, tout le monde ne connaît pas encore l'expertise des prof doc sur le sujet et certain.e.s préfèrent travailler seul.e.s ces activités (intéressantes en soi).
Mais quelles compétences valider avec des consignes pareilles, qui vont à l'encontre de ce qu'on attendra des élèves dans le supérieur et possiblement au travail ? Rien à voir avec la littératie numérique vers laquelle on doit tendre.

Bref, déçue des offres numériques, certes (surtout quand on pense qu'il s'agit d'argent public), mais aussi des contenus en lien avec ma discipline, non reconnue comme telle... mais qui est mon quotidien et passe à travers des enseignements transversaux et des dispositifs.

Les éditeurs scolaires à éviter

Bonjour,

en tant que prof doc, je tiens à préciser que les "documentalistes" sont enseignant.e.s (professeur.e.s documentalistes, avec des missions propres) et n'ont pas à s'occuper du (lourd) questionnaire relatif aux manuels scolaires (ex le GIDEC qui permet l'envoi des manuels par les éditeurs). Il convient de transmettre les codes d'accès aux coordinateurs et coordinatrices de discipline (vu que les données saisies sont compliquées à obtenir, voire intrusives, d'où un colis nominatif de la part des éditeurs), et à chacun de voir (soit les coordo le font, soit les profs eux-mêmes).
A la réception des colis par l'établissement, ce n'est pas non plus aux prof doc de les distribuer (plusieurs solutions possibles, par exemple laisser les cartons en salle des prof et demander à chacun de prendre les documents à leur nom).

Je rencontre encore des situations compliquées de prof TZR ou mutés, etc, en 2017, et ils se tournent vers les prof doc qui n'ont ni à gérer cela, ni la possibilité de le faire vraiment.

... Quand ce n'est pas les enseignants qui demandent les codes d'activation des licences aux prof doc au lieu de l'intendance, dont c'est le travail et qui de toute façon les reçoivent...

A chaque enseignant.e de discipline de se tourner vers l'intendance quand il s'agit de manuels scolaires (ou le/la prof ou CPE référent.e si mission payée par IMP), et de proposer de prendre en charge sa partie du questionnaire pour les prof doc encore cantonné.e.s au rôle de subalterne en raison de la culture d'établissement, de la pression, ou de l'habitude (être prof doc dans un collège de 200 élèves n'a rien à voir avec une cité scolaire de 1500, donc certain.e.s veulent bien aider tout le monde alors que chacun peut faire sa part !) ; et d'éviter les conflits que j'ai pu observés encore l'année dernière.

Les éditeurs scolaires à éviter

Tout à fait d'accord avec vous Julien d'autant qu'il existe par exemple pour ma matière l'anglais des sites qui contre abonnement à vie modique( comme ESL Lounge que j'utilise)permettent l'utilisation en numérique via des PDF et des enregistrements sonores MP3.
Le manuel d'anglais sélectionné par l'quipe du collège ou j'ai enseigné ne me plaisant pas du tout pour les classes de 6ème, j'ai construit toutes mes séquences moi-même et à mes frais (abordables) pour la 6ème.

En fait les manuels des éditeurs que vous nommez sont tellement onéreux que le collège a décidé de ne changer et commander que les manuels papier + version numérique des classes de 5ème ,je pense que le collège a dû acheter la licence numérique pour les autres pour de nombreuses années et du coup ne peut en changer.

Les éditeurs scolaires à éviter

Bonjour et merci pour votre réponse.

Les envois sont nominatifs. Je peux donc prétendre les récupérer.

Merci. Cordialement

Christine

Les éditeurs scolaires à éviter

Bonjour,

Il faut voir à qui sont envoyés ces spécimens. S'ils ont envoyés à votre nom, ils vous sont destinés, comme tous les courriers qui portent votre nom que vous pouvez recevoir dans votre établissement.
Si les livres sont envoyés à l'équipe d'anglais du lycée xxx, dans ce cas, c'est différent.

Les éditeurs scolaires à éviter

Bonjour

Ma question concerne les manuels scolaires. Dans mon lycée, c'est la documentaliste qui, chaque année, transmet les spécimens des manuels scolaires aux enseignants en les déposant dans les casiers dans la 1ère quinzaine de juin avant le départ pour les examens. Cette année, je suis en congé longue maladie jusqu'au 28 août 2017. J'ai fait une demande de mutation et j'aurais une réponse officielle autour du 20 juin. J'ai demandé à la documentaliste de bien vouloir donner "mes" spécimens à une collègue afin qu'elle me les transmette. La documentaliste n'est pas censée être au courant de ma demande de mutation. Elle me répond qu'elle attendra de savoir ce qu'il en est me concernant et que, si je quitte le lycée, elle les transmettra à la personne qui sera nommée sur mon poste. Selon elle, les manuels scolaires appartiennent à l'établissement et non au enseignants. J'aimerai avoir accès à un document officiel confirmant ou infirmant cette affirmation. Il me semble que lorsqu'un enseignant demande un spécimen à un éditeur c'est bien lui qui le fait et non la documentaliste. Merci par avance pour votre réponse et bravo pour tout ce travail.
Cordialement

Christine

Les éditeurs scolaires à éviter

Bonjour,
Je suis formatrice en pédagogie visuelle et j'ai créé en collaboration avec une professeur des écoles 3 manuels pédagogiques axés sur la conjugaison française.
Nous avons choisi de travailler en cartes mentales afin de rendre l'apprentissage plus ludique.
L'approche est attrayante car le visuel est au coeur de la démarche.
Nous cherchons désespérément un éditeur intéressé par notre projet.
Je me permets donc de vous contacter pour savoir si vous souhaitez que je vous transmette quelques extraits.
Bien cordialement,
Laetitia Sueldia et Stéphanie Guidoux.

Les éditeurs scolaires à éviter

Bonsoir,

Merci pour votre message.

Ce que je reproche justement aux éditeurs est de nous imposer des manuels numériques lourds, chers et compliqués à mettre en oeuvre alors que de simples fichiers PDF ne coûteraient quasiment rien à produire et répondraient à la grande majorité des besoins des enseignants !

Les éditeurs scolaires à éviter

Bonjour,

Je me permets d'intervenir en tant qu'éditrice scolaire d'abord en CDD puis ensuite free-lance (donc je travaille pour différentes maisons d'édition). Pour information : les éditeurs qui ne sont pas à éviter comme vous le dites non seulement sous-paient leurs intervenants extérieurs (mais demandent la même qualité de travail que les éditeurs "assoiffés" cités), mais ne paient ni de droits d'auteurs ni de droits tout court pour tous les documents (audio, vidéos, icono) et textes qu'ils publient sur leurs manuels payants.

En revanche, ce que vous ne tenez pas en compte, c'est le coût de fabrication d'un manuel, qu'il soit papier ou numérique chez les éditeurs "assoiffés" ou plutôt "légaux" en terme de droits et de rétribution financière à tous les intervenants de la chaîne. Ce qu'il faut savoir c'est que pour faire un manuel nous sommes une grosse équipe, en commençant par les auteurs qui sont tous professeurs spécialistes de leur matière. Ensuite il y a derrière un gros travail pédagogique, didactique et éditorial (qu'il n'y a pas chez les éditeurs "à ne pas éviter" puisque d'énormes anomalies pédagogiques sont présentes et persistent dans les dernières versions pré-impression), tous les documents qu'ils soient texte, icono, audio, vidéo, etc. sont soumis à des demandes de droits avec rétribution qui, parfois, peuvent aller jusqu'à 3000 euros pour 1min30 de film par exemple... (voire pire) et tous ces droits doivent être demandés pour l'impression papier ainsi que pour la version numérique, donc il s'agit d'un double droit, donc un double paiement.

Je précise tout de même que j'ai été moi même enseignante, donc en soi je ne suis ni pour ni contre, je rétablis un peu de vérité en tant que pédagogue et en tant qu'éditrice intervenant dans plusieurs des grosses maisons et aussi pour les petits éditeurs "à ne pas éviter". Juste un conseil pédagogique (sans parler du prix) = si vous voulez un manuel qui tienne la route avec de vrais spécialistes derrière et pour une bonne conscience de rétribution des gens qui travaillent pour faire ces manuels (on n'est pas non plus des "riches" hein, les profs sont bien payés en comparaison avec nos salaires), restez sur des valeurs sûres malgré le prix de leur licence numérique.

Et pour info, la version numérique coûte encore plus chère à faire que la version papier. Je crois que vous ne vous rendez pas compte du travail qu'il y a derrière tout cela et du coût. Si les éditeurs donnaient gratuitement tout ce que vous souhaitez, comment pourraient-ils survivre ? Et nous petites mains, ne pas être au chômage ?
Je vous laisse à votre réflexion puisque vous semblez être très au courant.

Bien à vous.

Les éditeurs scolaires à éviter

Bonsoir MDLC,

Oui, le manuel ne sera plus accessible à cette date.

Les éditeurs scolaires à éviter

Bonjour,
J'ai acheté un manuel de technologie cycle 4 chez nathan en version numérique. Ma date d'expiration est le 5 octobre 2017. Que va-t-il se passer à cette date ? (suppression du manuel, je devrais repayer le manuel,...??)

Bien cordialement,
Marc De La Couille (veuillez m'excuser de mon nom de famille...)

Les éditeurs scolaires à éviter

Merci pour votre retour,
Effectivement, je me bats pour faire ULTRA SIMPLE, mais nous ne fonctionnons pas pour autant. Il y a donc selon un moi un pb ailleurs (en France en tout cas). Même si je ne comprends pas ce que vous appelez GRATUIT votre billet à le mérite de montrer que les éditeurs doivent lever les freins pour laisser le prof tranquille de travailler.
Mais je persiste à croire que le pb est ailleurs. Nous faisons cela depuis 15 ans en France (même si ce que nous faisons n'est pas du manuel mais de la ressources granulaire). Le dernier AO France pour des ressources granulaires en sciences ne nous a même pas auditionné !!!
Nos ventes France sont ridicules comparativement à ailleurs !
Le pb du coût est aussi un faux problème. Le prof/documentaliste devrait juste se demander si le contenu, la ressource apporte une plus value. Je ne crois pas que le chirurgien se dit que l'IRM de Siemens est trop cher par rapport à celui de FUJITSU, il expertise juste qu'un IRM est génial et nécessaire pour son métier. À Siemens ou Fujitsu de faire simple et efficace.
J'espère tout comme vous une prise de conscience de l'édition.

Les éditeurs scolaires à éviter

Bonjour,

Ce n'est nullement le libre que je tente de promouvoir avec ce tableau, mais plutôt le coût final et la facilité d'accès aux manuels numériques.

Quand un éditeur nous vend un manuel papier avec sa version numérique ""offerte"", c'est un cadeau empoisonné ! Le code ne sera utilisable que par UN seul élève et il devra saisir une série de 15 à 20 caractères à chaque fois qu'il voudra accéder au manuel. Ce dont je rêve : que les éditeurs offrent un accès illimité et GRATUIT avec des moyens simples à leur manuels, que ce soit via un ENT, sur une clé USB, sur un ordinateur GNU/Linux ou sur un smartphone Android. Un fichier PDF, ce serait déjà merveilleux, même sans interactivité. Les éditeurs n'en veulent pas : pas assez rentable et impossible pour eux de surveiller l'utilisation qui en est faite !

Les éditeurs scolaires à éviter

Bonjour,

Sympa votre comparatif.
Si je vous lis correctement, la société française eduMedia que je représente qui fait des ressources pédagogiques numériques, qui n'a pas augmenté ses tarifs depuis 15 ans, qui privilégie un modèle pédagogique ultra-simple (même prix pour toute l'école peu importe le nombre de prof/élèves), accès domicile/famille inclus, fiche pédagogique gratuite, ressources téléchargeables, partageables (même entre écoles non abonnées) devrait bien fonctionner ?
Quoique si seul le libre n'est pas "à éviter", nous n'aurons jamais vos faveurs.
En tout cas, eduMedia, 7 salariés, est dans toutes les écoles du Maroc, la moitié des écoles du Québec ou de la Suisse francophone.... et quasiment nulle part en France.
Peut être d'autres critères absents de votre tableau devraient être considérés (même pour le manuel).
Bien le bonjour de Québec où il fait chaud et où le libre cohabite sereinement avec le privé.

Les éditeurs scolaires à éviter

Monsieur,

Les chiffres que vous publiez confirma bien le business de l'édition scolaire.
Professeur-documentaliste dans un collège et lycée privé en Corse, j'ai reçu une vingtaine de colis très lourds. 314 manuels scolaires !!!
Mais je suis écœurée de cette gabegie. Nos institutions nous invitent à mettre en oeuvre une politique du numérique. Très bien.
Une collègue de Lettres est offusquée également, d'autant plus que le contenu ne change que très peu.

N'y aurait-il pas d'autres moyens à déployer ? Qui paye in fine ???
Les éditeurs pourraient envoyer des exemplaires au format numérique dans un premier temps, non ?

Consciente des intérêts économiques des éditeurs et des transporteurs (Via Chronopost), je suis "un peu" scandalisée.
Lancer une pétition pourrait-il changer les choses ?
Sachant qu'en gros il y a plus de 7000 établissements scolaires en France et si chaque établissement reçoit entre 100 et 200 manuels à 25 € en moyenne, le coût total est exorbitant.

Mais qui paye tout cela ?

A écouter aussi : http://www.franceculture.fr/emissions/rue-des-ecoles/manuels-scolaires-faites-les-vous-memes

Bien à vous,
Sophie

Les éditeurs scolaires à éviter

GMR 9467. Je suis un grand père et en cherchant mes petits enfants à la sortie des écoles je suis effaré du poids de leur cartables. Aujourd'hui j'ai cherché ma petite fille de 14 ans en 3ème, j'ai pesé son sac : 12,5 kg. (Elle souffre de douleurs dorsales et est exempté de gym pendant 1 mois, je ne fais pas a priori une relation de cause à effet). dans le monde du travail le code du travail limite le poids des charges soulevées ou portées. Toujours la même justification, on doit emmener tous les livres des matières de la journée. Ayant récemment découvert le livre numérique (tout arrive même à 74 ans), je me suis dit il doit bien y avoir possibilité d'avoir des livres scolaires numérisés qu'on achèterai comme une version papier, les droits des auteurs seraient préservés. Apparemment ce n'est pas le cas, et je ne comprend pas la problématique , version professeur, version élève, ce que l'on veut ce sont les mêmes livres en version numérisée pour gagner du poids. Vivement qu' AMAZON et Kindle se saisissent du marché.
10/03/2016

Les éditeurs scolaires à éviter

Bonjour,
Votre post est très instructif mais comme il date d'un an, je me demande si tout cela a évolué depuis novembre 2013 ou si le constat est toujours le même... Il serait intéressant de savoir si les offres en matière de manuels numériques ont évolué et si les éditeurs ont changé leur politique : en effet, en matière de comparatif, la jungle des offres est aussi difficile à appréhender que celle des offres en matière de téléphonie mobile. C'est un casse tête à faire faire fortune à l'industrie de l'aspirine et je suis assez admirative du boulot que vous avez fourni. Merci !

@jblarou :
Bonsoir jblarou,
Dans mon exemple, je prends en compte la situation _réelle_ des établissements, c'est-à-dire une utilisation pendant 10 ans du manuel papier et de sa version numérique.

Les éditeurs, désireux d'en faire une rente à vie, ne vendent l'accès aux manuels numériques que pour 3, 4 ou 5 ans.

@Prof92 : Bonsoir Prof92,
Dans mon exemple, je prends en compte la situation _réelle_ des établissements, c'est-à-dire une utilisation pendant 10 ans du manuel papier et de sa version numérique.
Par exemple 79 euros/4 ans donnent 237 euros pour 10 ans.

Bonjour,
JE ne comrpends pas, quand on clique sur les liens des éditeurs, on ne truve pas les tarifs que vous mettez ? Ils sont généralement moins chers que ce que vous mettez.
???

Bonjour,
Intéressant cet article, merci.Par contre en cliquant sur les liens Belin au début du tableau, les prix que vous affichez ne correspondent pas à ce qu'ils mettent ?? Pourquoi ? Où avez-vous trouvé vos chiffres ?
Prof adoptant : 79 euros/4 ans et pas 237 euros
Elève : 5.5/4 ans et pas 16.5 euros

Pareil pour Magnard...

Quels sont les bons tarifs ?
Merci,

Rhoo avec des couleurs en plus, 1439 contre 5444 euros !!!! Ah quand même.